Quel est le ROI d’une mission de management de transition juridique ?

Engager un budget sur du management de transition, d’accord, mais quel sera le retour sur investissement ? Arnaud Desclèves répond à cette question – légitime – posée par de nombreux clients.

Le gain de temps, la première vertu du management de transition

Recourir au management de transition, c’est d’abord faire le choix de gagner du temps. Beaucoup de temps. Vous avez besoin de renforcer votre équipe avec l’arrivée d’un nouveau juriste ? Entre le moment où vous décidez de recruter en CDI et les débuts du nouvel arrivant dans vos effectifs, il s’écoule au moins 6 à 8 mois. Avec le management de transition, seulement 48 h !

Ce rapport au temps si différent s’explique simplement. Un recrutement en CDI nécessite une chasse, plusieurs entretiens, un temps de négociation sur les salaires et les conditions et souvent un préavis à respecter pour quitter son précédent employeur. Résultat, un temps moyen constaté de 6 à 8 mois. D’autant que recruter en CDI dans l’urgence comporte des risques, à commencer par celui de se précipiter et de ne pas sélectionner le bon profil. À l’inverse, contacter un cabinet de management de transition répond à un calendrier radicalement différent : formulation de la demande, envoi d’une short-list de candidats et premiers pas dans l’entreprise en 2 jours seulement !

Cette solution constitue donc la meilleure – pour ne pas dire, l’unique – option quand un poste est à pourvoir très rapidement dans une équipe, avec le besoin d’un professionnel aguerri, reconnu et expert sur les problématiques à traiter. Car c’est l’autre atout du management de transition : bénéficier d’un juriste immédiatement opérationnel. Il maîtrise déjà les sujets, dispose d’un solide background et s’appuie sur l’un des directeurs associés de l’entreprise de management juridique pour faciliter son acculturation aux spécificités de sa mission.

Une équivalence qui s’avère fructueuse

Qu’implique le choix du management de transition juridique ?

Choisir le management de transition juridique, c’est choisir :

    • les compétences précises nécessaires à son besoin présent
    • la séniorité et l’expérience
    • la durée de la mission, quelques semaines ou quelques mois
    • l’accompagnement par un directeur aguerri
    • un service sur-mesure
    • la souplesse d’un contrat de prestation

Réciproquement, la recherche de ces atouts-là implique la recherche de la solution du management de transition !

Une intégration du manager de transition qui se fait sans frictions

Autre atout : le manager de transition ne vient pas remettre en cause une organisation savamment pensée ni une équipe patiemment constituée. Il s’intègre dans le dispositif existant, sans froisser les susceptibilités, peser sur l’ambiance ou bouleverser les équilibres. Il se fond dans le décor, tout en apportant une expertise et un point de vue qui font avancer les choses et débloquent les situations complexes.

Le TJM est l’étalon de mesure adéquat parce qu’exclusif

Pour un besoin ponctuel sans l’engagement d’un recrutement coûteux sur le long terme, le management de transition répond à une demande précise. Sans proposer de coûts exorbitants : le TJM s’applique uniquement sur les journées effectivement travaillées, sans les congés, RTT et absences diverses (mais payées) prévues dans un CDI, ni les primes de précarité dues avec un CDD. Le retour sur investissement de cette solution adaptée à votre problématique se mesure donc quasi-instantanément !

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« Recourir au management de transition, c’est d’abord faire le choix de gagner du temps. Beaucoup de temps… »